les cowboys
J'aime beaucoup les westerns, que ce soit au cinéma (américain surtout, parce que bon, Fernand Cow-boy ou Dynamite Jack, merci bien), dans la littérature (je viens de finir le très bon Bloodsilver de Wayne Barrow, qui mèle de façon intelligente et fascinante vampires et cowboys, reécrivant du coup toute l'histoire des Etats-Unis, de 1691 à 1917 ; mais en fait je me rends compte qu'à part Legendes d'Automne de Jim Harrison, je n'ai rien lu d'autre avec des garçons vachers) ou dans les jeux vidéo, bien que ce ne soit pas tellement répandu.
C'est donc avec impatience que j'attends le prochain jeu de Rockstar, Red Dead Redemption. Un monde ouvert qui a l'air gigantesque dans lequel on peut se balader à cheval, chasser, discuter au coin du feu avec d'autres voyageurs, braquer des diligences et participer à des révolutions au mexique, une aventure qui s'annonce hors du commun que l'on va vivre dans les bottes du velu Marston.
Je ne sais même pas pourquoi les westerns me fascinent autant : je hais les chevaux, c'était une période ultra violente peuplée d'arriérés et d'arrogants, mais le côté romantique des grands espaces et de cette terre à découvrir, les mythes que le genre a crée, tout ça me captive.
Ah, la vie au grand air...
Ah, oui, autre chose, rien à voir : j'aimerai bien que le petit malin qui tape "blog pédé the great mustache" et "blog homo great mustache" sur google et le moteur de recherche d'over-blog se dénonce tout de suite.